Plus je progresse dans ce métier, plus je fais confiance au processus plutôt qu'aux outils.
Je m’appuie sur la puissance :
• de la position basse de non-savoir, voire de naïveté,
• du silence, des ponctuations verbales et physiques,
• des questions limitées en nombre et orientées résultat,
• du partage émotionnel au moment adéquat,
• du zoom ou de l'arrêt sur image lors de moments décisifs.
La puissance du coaching que je propose se trouve sans doute à l'intersection entre un côté rationnel, que je peux symboliquement résumer dans ma formation et mon expérience initiales, et un côté relationnel, émotionnel, créatif, que je peux résumer dans ma formation et mon expérience gestaltistes.
La puissance du coaching que je propose se trouve aussi à l'intersection entre mon côté efficace, impatient, centré sur l’objectif et mon côté zen, centré sur le moment présent.